Un sourire ou un éclat de rire ,

J'en suis surprise,

De voir que tu sais le dire,

Ou parfois même le montrer ,

Moi qui suis envahissante,

Je reconnais que ton sourire est éblouissant,

La lumière s'étire,

Il faut dire que c'est la nuit,

Et que je compose à la bougie,

Qui illumine mes pensées,

Et parfois mes drôles d'idées,

Mais je viens de contempler ,

Madame la lune,

Elle est déjà éveillée,

C'est un brin de fortune,

Il faut vite la mettre de côté ,

Avant quelle s'évanouisse,

Et que je ne la vois plus,

Car je serai triste,

De ne plus voir sa venue,

Mon cœur n'était que des débris,

Maintenant il scintille et brille,

Car mon âme était en peine,

Et ne trouvait plus d'abris,

Pour se contenir,

J'ai souvent crié au secours ,

Mais toi seule n'y a jamais répondu ,

Et aujourd'hui je suis de retour,

Il me restait une simple lueur d'espoir,

Et il fallait y croire,

J'y suis parvenue,

Et c'est une très longue histoire,

Que je garde en mémoire,

Dans mes heures perdues ……………..

J'ai beaucoup de gens qui m'aiment ,

Parce que je suis en réelle ,

Mais pas souvent à l'aise ,

C'est vrai que je ne peux satisfaire,

À tout le monde mais je suis sincère,

Mais parfois on maudit une épreuve ,

Mais on ne sait pourquoi,

Car ne possédant pas aucune preuve,

Je dois dire que c'est une belle œuvre ,

Il faut peut-être aller voir ailleurs,

Si le monde est meilleur,

Il faudrait aller à la terre neuve,

Mais c'est une belle épreuve,

Je suis veuve,

Mais pourquoi aller voir ce fleuve,

C'est une lourde douleur,

En principe les personnes sont des cadeaux,

Magnifiquement enveloppés,

Mais souvent dans du papier journaux,

Pour le recycler,

Mais quand l'emballage laisse à désirer ,

C'est qu'il a fait un long voyage,

Ou qu'il a subit plusieurs étapes,

Va t-en le savoir,

Il me semble m'émouvoir,

Car il n'est pas intact,

Comme le prévoyait au départ,

Va savoir ce qu'il se passe,

Personne ne pourra me renseigner ,

Mais il reste les bienfaits ……………….

Je marchais sans espoir,

Et en plus dans le noir,

Avec le flot de mes peines,

Ma douleur et ma haine,

Car je désespère ,

Et je trouve que rien est nécessaire ,

Et à l'endroit où le ciel me semble clair,

Je trouve qu'il n'y a pas de lumière ,

Où plus rien ne reflète  ,

Et je commence à trouver que mes gestes

sont fébriles,

Forcément je ne mange plus et je résiste ,

Dois-je en conclure que ça se termine,

Que la lutte est sur une phase finale,

Ou alors que je suis dans un épais brouillard ,

J'avance mais je ne sais pas où au hasard !

J'ai quand même un sourire assez amère,

Et de pâle coucher de soleil ,

Et beaucoup de soupirs,

Des brumeux avenirs,

Et de vains repentirs ,

De l'inquiétude et de la lassitude ,

Je suis anéantie,affaiblie,

Et je réalise que je n'ai que des soucis,

C'est bien une triste vie ,

Mais comment va t-elle en finir,

Va savoir la suite où elle veut en venir ………..

Avec mes mains fébriles,

Et à la fois dociles ,

Je vais essayer d'atteindre l'écriture ,

Mais cette chevauchée dure,

Depuis cette ouverture,

L'art domine,

Et j'en suis sensible ,

Mais dans ce domaine pas de précipitation,

Et il ne faut pas que je change de direction ,

Je vais essayer l'extrême séduction,

Un genre de consolation,

Mais c'est une exploration de toutes les zones,

Et cette lumière est accentuée,

Je vais jouer à faire l'amazone ,

Et je pense que ça me faire quelque chose ,

Car il se dissimule une légère couche d'ozone ,

Mais hélas j'en connais pas la cause,

Par cette évasion,

C'est un site d'adhésion,

Oh! cette  combine il est sublime ,

Que je me fais des illusions ,

Et je ressens comme des pulsions,

Une petite pression,

Mais dans sa pure beauté naturelle ,

De l'indéfinissable sensualité,

Le cortège ne fait que de se mouvoir,

Et de la glace se projette,

Sur mon visage cette lumière vacillante,

Elle comble la floraison,

Et que chaque jour garde son érosion,

C'est vivre de cette façon,

Que j'en reste tout à fait charmante ……...

Le temps passe et s'enfuit ,

Je cours vers la ruine,

Et ça va me détruire,

Mais que vais-je devenir,

Je perds mon équilibre ,

Je tombe et je m'évanouis ,

Il va falloir réagir ,

Mais assez vite,

Car il s'agit bien de ma vie ,

Qui si je peux me permettre

de le dire ,

Elle est en danger ,

C'est une course poursuite ,

On ne sait quand ça se termine,

Je pense qu'il s'estompe ,

Ou alors je me trompe,

Mais il ne sera pas perdu,

Il disparait dans un lieu inconnu,

C'est l'horloge de la vie ,

Qui va prendre la suite ,

Mais toutefois sans aucun regret ,

Pourquoi elle en aurait ?

Si c'est la vie on l'apprécie,

Et on se tait,

Là je deviens muet ,

Mais je vois ce reflet sur l'eau,

C'est agréablement beau ,

Mais c'est assez subtil ,

J'en suis ébahi ,

Je ne sais que dire ,

Oui mais j'idéalise ,

Ça me fait bien plaisir,

Et c'est pragmatique ………...